Ils sont jeunes, souvent très jeunes, pour la plupart des désoeuvrés issus de toutes les couches sociales, ayant perdu tous les repères, leur seul échappatoire est devenu : la consommation du kif et des psychotropes.
Mais s’il restait bien admis que la consommation des drogues sous toutes ses formes, touchait avec prépondérance la junte masculine, la classe féminine n’est désormais que peu ou prou préservée. Aucun bilan officiel n’est pour le moment divulgué, cependant un prompt plongeant (…)
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Reportages
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Sétif : Un fléau qui défonce nos jeunes
16 février 2006, par Bougaa -
Cimenterie de Ain El Kebira ( Sétif )
13 février 2006, par La rédactionLa poussière dégagée par les fours de la cimenterie située à 500 m d’El Kharba, bourg dépendant de la commune de Ouled Adouane (daïra d’Aïn El Kebira), a accentué le malaise des malades de la localité « exposée » avec des problèmes d’asthme, d’insuffisances respiratoires et d’allergie.
La dégradation de l’environnement (le ciel est infesté par plus de 20 mg/m3 de poussière, loin de normes acceptables) et la détérioration de la santé de la population, ont exacerbé cette dernière. Les (…) -
L’art dans la ville se limite aux panneaux publicitaires
9 février 2006, par La rédactionLes travaux de designers, sculpteurs, ornemanistes se rapportent aux tâches d’embellissement urbanistique. Les sculptures, les fresques et les œuvres d’art monumentales représentent, entre autres, les ouvrages décoratifs des centres urbains. Occupant les espaces publics, ils sont un véhicule de propagation de la culture, de l’art et une fenêtre ouverte pour la population sur les valeurs civilisationnelles universelles. La mission assignée à l’artiste obéit, certes, à la notion de (…)
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A Sétif, la tradition du souk prédomine
6 février 2006, par La rédactionAvec la disparition des grandes surfaces -pour le cas de Sétif, 3 ex-Galeries algériennes se trouvant toujours fermées depuis le changement du système commercial et l’ouverture du marché au privé-, la prolifération des supérettes allait s’imposer comme une réalité dans le comportement de la population des consommateurs appelée à adhérer au mode commercial en vigueur.
A l’instar des grandes villes du pays, l’implantation de ces grands commerces de shopping à Sétif était attendue pour (…) -
Sétif : Quand l’histoire vient à être piétinée
21 janvier 2006, par La rédactionDes sites archéologiques sont victimes d’actes de vandalisme perpétrés, avec la bénédiction “officielle”, par des personnes irresponsables ayant autorisé des constructions illicites, effaçant ainsi la mémoire de toute une ville.
La ville de Sétif, et ce n’est un secret pour personne, est chargée d’histoire plusieurs fois millénaire. Sitifis, colonie romaine, capitale de la Maurétanie sétifienne, a été fondée à la fin du IIIe siècle après J.-C. par l’empereur Diol. Sétif devint byzantine (…) -
Le « Tigre » de Sétif
24 décembre 2005, par Fares RouibahPour de nombreux étudiants du campus universitaire de l’antique Sitifis portant la « marque » Ferhat Abbas, le nom de cet illustre militant de la cause algérienne, intellectuel et défenseur acharné de l’instruction et du savoir, est « probablement » celui d’un de nos valeureux chahids. D’autres l’identifient à un ancien moudjahid ou politicien. Pour la majorité, n’étant pas au fait du parcours, des œuvres et des combats des historiques, Ferhat Abbas n’est ni plus ni moins qu’un illustre... (…)
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Perspectives du projet urbain en Algérie : Cas d’El-Ali à Sétif
22 novembre 2005, par La rédactionPar DIAFAT Abderrahmane, MADANI Said et TACHERIFTE Abdelmalek
I - Introduction : Dans le contexte de compétition territoriale actuelle, certaines villes algériennes veulent se donner les moyens de réaliser des projets urbains prestigieux à la mesure du rang qu’elles occupent à l’échelle régionale, voire nationale. Sétif n’échappe pas à cette règle. Les paramètres liés à son développement, en tant que pôle régional (Madani et Diafat, 2002), l’importance de la population et le brassage des (…) -
Les soirées sétifiennes s’animent timidement
19 octobre 2005, par La rédactionSeule la maison de la Culture a monté un programme d’animation
Il est pour le moins déplorable qu’une ville de l’importance de Sétif n’ait qu’une seule institution culturelle qui soit relativement active
Mieux vaut tard que jamais. Il aura fallu attendre plus d’une décade pour que les soirées de ramadhan s’animent à Sétif et, comme à l’accoutumée, seule la maison de la culture Houari Boumediene tente tant bien que mal de les meubler. Avec les moyens limités dont elle dispose, la (…) -
La culture décentralisée
18 octobre 2005, par La rédactionUne fois n’est pas coutume, l’activité culturelle et artistique, d’habitude centralisée au chef-lieu de la wilaya de Sétif, vient de mettre le cap sur 19 communes sur les 60 que compte la région.
Ainsi, des galas musicaux des représentations théâtrales et des monologues égayeront les soirées des habitants de Beni Aziz, Aïn Oulmène, Beni Fouda, Aïn Lahdjar, Aïn Kebira, Bougaâ et Aïn Azel pour ne citer que ces contrées, qui vont, le temps d’une soirée pas comme les autres, mettre entre (…) -
Djemila (Sétif) : Menace sur les ruines romaines
11 octobre 2005, par La rédactionLes constructions illicites qui prolifèrent à Djemila endommagent l’esthétique de la cité séculaire qui retrouve sa quiétude d’antan et des visiteurs avides de découvrir les sites des civilisations anciennes.
Le phénomène qui prend des proportions alarmantes n’est, pour les citoyens qui se sont rapprochés de nos bureaux, pas un banal fait divers. Ces derniers tirent la sonnette d’alarme. Ils accusent ouvertement les autorités de la cité de passivité. Pour nos interlocuteurs, les « (…)