Interdite il y a à peine deux ans ,la commercialisation de la friperie revient au galop pour frapper à nos portes .Menée tambour battant et avec une rare virulence par 4 députés de la majorité, la compagne pour l’autorisation de l’importation de la friperie a bien abouti par un vote positif à l’Assemblée Nationale lors de l’examen du projet de la LFC 2011.Ces « vénérables » représentants du peuple, en accointance sans doute avec les milieux « d’affaires » concernés ,qui n’ont jamais (…)
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Débats
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La friperie, les sénateurs disent Non aux députés.
28 juin 2011, par A. Nedjar -
La révolution confisquée et les Etats Généraux de la Société Civile
20 juin 2011, par A. Nedjar« Il en est des révolutions comme du reste : il n’y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va » sic.
La révolution confisquée !c’est ce qui trotte à longueur de journée dans tous les esprits depuis 1962.Son aboutissement aurait permis tous les espoirs avec la mise en place d’un réel processus démocratique .Pour le reste ,beaucoup de citoyens estiment que la colonisation n’a en fait changé que de nom et de forme. Approchés, ils pensent que ce n’est encore qu’une (…) -
Qui succèdera à Benchikha ?
16 juin 2011, par La rédactionLa succession d’Abdelhak Benchikha le désormais ex sélectionneur national à la tête de la batte technique est ouverte. Cinq candidats ont été retenus par la commission chargée par le président de la FAF Mohamed Rouaroua, parmi les 44 postulants. Il s’agit du français Philippe Omar Troussier, le Bosniaque Vahid Halilhodzic, l’ancienne star allemande Jürgen Klinsmann, Carlos Caetano Bledorn Verri connu sous le nom de Dunga et l’argentin José Pekerman. Le premier entraîneur retenu n’est autre (…)
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Le mensonge à l’air du temps ou les engagements d’un ministre de la république.
3 juin 2011, par A. NedjarAu moment où le ministre de l’intérieur réunissait ses troupes en vu de les instruire de tout faire pour retrouver la confiance des citoyens par rapport à l’administration, voici que le ministre des Travaux Publics, Monsieur Amar Goul, déclarait ;dans un singulier face à face devant les députés réunis en assemblée plénière , que le programme sur lequel il s’était engagé auparavant risquait de ne pas aboutir dans les délais fixés initialement. Délais après délais ,nous n’avons (…)
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Quel est le rôle des députés sétifiens ?
29 mai 2011, par La rédactionQuelqu’un pourrait-il nous dire à quoi sert un député algérien ? Car le constat de la vraie réalité n’échappe à personne à Sétif sur le rôle d’un élu censé représenter le peuple qu’il a élu pour mieux le représenter et défendre son intérêt dans l’hémicycle et sur le vaste terrain d’une wilaya aussi grande que Sétif.
En effet, sur les 16 députés que compte la wilaya de Sétif, deux n’ont jamais mis leurs pieds à Sétif depuis leur élection, un « papillonne » d’un parti à un autre en (…) -
Alice au pays des merveilles
23 mai 2011, par A. NedjarAu vu des listes préliminaires de consultations politiques des personnalités appelées à être "écoutées" et sondées sur les projets des nouvelles reformes politiques, il semble que le règne de la gérontologie persiste et domine toujours en Algérie.
Symboliquement, on aurait du commencer par les jeunes à qui le sort du pays sera confié demain. Il n’en est rien. Ils sont absents. Il le seront sans doute encore pour le reste des consultations. Beaucoup pensent que ce n’est pas un problème de (…) -
Vers le choix de la nationalité ?
10 mai 2011, par La rédactionLa récente déclaration du député français Claude Goasguen, sur le cas des binationaux commence à susciter un débat sur l’avenir des Algériens détenteurs de la nationalité française.
Lors d’une récente déclaration au journal français « La Croix », Claude Goasguen, rapporteur de la mission d’information parlementaire sur le droit de la nationalité, estime qu’il faut limiter la binationalité ou en tout cas les droits politiques des binationaux.
"Il est certes impossible, comme le suggèrent (…) -
Réformes politiques : promesse et urgence
23 avril 2011, par La rédactionRéformes politiques : promesse et urgence par El Yazid Dib
Bouteflika a parlé de vive voix. La voix était rauque. Le ton n’est plus celui d’un autre temps. Les décibels étant lourdement faibles que l’orateur paraissait lourdement affaibli. Oublions la forme, restons dans le fond. Creusons-y.
Tardivement certes, mais il l‘a fait, son discours. L’on dirait que le président de la République avait décortiqué le délire de votre serviteur lorsqu’il cogita son papier * sous une sous-rubrique (…) -
Algérie : Révision de la Constitution ?
18 avril 2011, par La rédactionRéviser la Constitution ? Acte prometteur de changement ? L’histoire politique et constitutionnelle contemporaine algérienne semble montrer qu’il s’agit là d’un vain espoir. Jugeons-en.
La République algérienne démocratique et populaire (RADP) a connu autant de Constitutions que de Présidents, tous illégitimes à mon sens. Tous ont essayé d’apprendre la coiffure sur nos têtes d’orphelins. Nos princes ont fait leur principe premier de ce proverbe maghrébin. Une donnée majeure et permanente : (…) -
Au nom de qui a parlé le premier ministre ?
2 avril 2011, par La rédactionEn juin 2008, pour ceux qui s’en souviennent, Ahmed Ouyahia s’était fendu d’un serment de loyauté à l’endroit du président de la République, serment dont on ne sut alors s’il tenait de la grandeur d’âme ou de la dérisoire tactique politicienne : « Mon soutien à Bouteflika est absolu et je ne serai pas candidat aux présidentielles s’il s’y présente. » Il avait même ajouté, pour la bonne bouche : « Je ne suis pas un Clint Eastwood, je fais mon job ! »
Mercredi soir, à l’émission « Invité de (…)